En France, l'affaire fait de plus en plus de bruit au point que les dirigeants de la multinationale chercheraient à tout prix à faire taire l'affaire afin de continuer à préserver son image.

 

Des agents publics étrangers corrompus ?

La compagnie pétrolière et gazière Perenco visée en France par plusieurs enquêtes préliminaires, est actuellement dans de mauvaises postures car elle serait soupçonnée d'avoir corrompue des agents publics étrangers, notamment dans des pays africains où elle est implantée, a indiqué notre confrère de l'AFP. À cet effet, indiquent des sources judiciaires nommées par notre confrère ,les locaux parisiens de la compagnie franco-britannique auraeint été perquisitionnés par les enquêteurs de l'Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales (Oclciff), en charge des investigations.

Si aucune information n'a filtré sur le nombre d'enquêtes ouvertes à l'encontre de Perenco,ni leurs dates, les dates de perquisitions encore moins les pays visés, la multinationale indique être sereine.

"Perenco confirme qu'il a coopéré avec les autorités d'enquête en février 2022, ce que le groupe a fait avec plaisir. Perenco n'a eu aucun autre contact dans ce dossier depuis", a indiqué le groupe, joint par l'AFP, à son siège londonien.

Notons que Perenco est présent dans 15 pays étrangers, avec 6.000 employés et environ 500.000 barils/jour déclarés. Parmi ses hauts dirigeants, Perenco a compté Jean-Michel Runacher, père de l'actuelle ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher

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